Le diagnostique rétroaction
Le diagnostique rétroaction est une intervention conçue pour redécouvrir collectivement la genèse d’une situation de crise, en respectant l’intégrité de toutes les personnes impliquées.
Je propose une approche originale des contentieux actuels, rompant avec les explications en termes de différence culturelle ou de radicalité religieuse, qui saturent le débat public et tuent la communication.
À l'écoute de votre vécu, j'élabore un traitement à la fois plus souple et plus rigoureux, adossé aux enseignements théoriques de la cybernétique, définie comme une science de la rétroaction dans les systèmes complexes : un organisme, une société, une espèce vivante, un écosystème…
Ensemble, nous dégageons ainsi une marge de manœuvre pour l’institution.
Pour l'anthropologue
que je suis, confronté depuis deux décennies aux paradoxes du
monde contemporain,
il y a là trois points de vue alternatifs sur une même réalité
organique :
(1) ressources humaines,
(2) structures théologiques
(3) configuration géopolitique
= trois manières
d'ouvrir les fenêtres, et de renouveller le débat.
(Sur ma découverte de ce
noeud, au cours de mon enquête dans le Yéménite des années
2000, voir la vidéo sur la page Taez.fr/epistemologie.html
)
Illustration par un cas d’école typique : une institution confrontée à un attentat.
- « Un cas d'école » (version courte)
- « Retours de flamme » (version longue)
Explicitement ou non, cette prestation mobilise toujours
mon expérience de terrain au Yémen. Notamment une situation
d’attentat inversé, qui visa en
2007 « l’institution » de mon
enquête. Ce défi m’a permis de passer d’une perception
sociologique classique à une sociologie cybernétique,
consciente des effets induits par l’observateur. Le détour par
cette expérience caractéristique de la société yéménite
d’avant 2011, permet de reconsidérer les drames qui ont frappé
après 2011 la société
française, sans recourir aux réseaux djihadistes comme
hypothèse explicative. Ceci pour situer le problème là où nous
avons les moyens de le résoudre - et non pour «
disculper l'islam », comme on l'entend
souvent…
